En 2020, la fermeture de l’usine Bridgestone à Béthune a marqué un tournant pour le bassin industriel des Hauts-de-France. Avec 823 emplois supprimés, cette annonce a révélé la vulnérabilité d’un territoire historiquement ancré dans l’industrie lourde.

Cinq ans plus tard, le site de l’ancienne usine se transforme. Parmi les acteurs de cette réindustrialisation, ENNEA GROUPE s’est installé pour développer une plateforme d’économie circulaire, contribuant à la création d’emplois locaux et à la transition écologique.

« Le territoire mise sur des filières durables, comme le reconditionnement, pour créer des emplois non délocalisables. » (Source : La Gazette France, 2024)

Sur l’ancien site Bridgestone, Ennea Groupe participe à la dynamique de réindustrialisation verte en y implantant une activité dédiée au reconditionnement d’équipements industriels.

Cette initiative s’inscrit dans une logique de :

✔ Création d’emplois locaux (sans précision sur le nombre dans la source).

✔ Réduction de l’impact environnemental (via le réemploi et la réparation).

✔ Souveraineté industrielle (en évitant la délocalisation des activités).

Le choix de Béthune n’est pas anodin :

• Un bassin de compétences : Ancien territoire minier, la région dispose d’une main-d’œuvre qualifiée dans les métiers industriels.
• Un soutien politique : Les collectivités locales, comme Olivier Gacquerre (cité dans La Gazette), accompagnent activement ces projets.
• Un symbole de transition : Passer « du charbon aux batteries électriques » (métaphore utilisée dans l’article) illustre le virage vers une industrie décarbonée et innovante.

Les projets comme celui d’Ennea Groupe à Béthune démontrent que la réindustrialisation peut rimer avec :

✅ Durabilité (réemploi des ressources).

✅ Résilience (emplois non délocalisables).

✅ Innovation (nouveaux modèles économiques).

« Ces initiatives montrent que la réindustrialisation est possible, à condition de miser sur l’innovation et la durabilité. » (Source : La Gazette France)